« TV ORCHESTRA ». Voici le titre d’un opus signé Christophe Rime, qui revisite avec talent et originalité, les génériques des séries télé anglo saxonnes des années 70 et 80 : Amicalement votre, mission impossible, chapeau melon et bottes de cuir, magnum, autant de séries cultes qui ont marqué notre jeunesse (ou celle de nos parents … hum, hum !)

Des arrangements fins et bien sentis, servis par un Guitariste/arrangeur inspiré qui s’est entouré pour l’occasion d’une « dream team » de choc : Marcus MILLER et Michel ALIBO (basse), Roger BIWANDO (batterie), Lionel FORTIN (claviers), Pierre-Olivier GOVIN (sax), Allen HOIST (Voix, flute), Antoine ILOUZ (trompette) et Jérémie TERNOY (piano).

//www.youtube.com/watch?v=PxzDhxW0eNU

Christophe signe ici son cinquième album, avec finesse et passion . Cet album est disponible via son site internet ou directement en téléchargement  sur itunes .

Je vous invite vivement à aller visiter son site internet , afin de découvrir plus amplement l’univers de ce digne représentant de la guitare made in France (cocorico !), car le gars a plus d’une corde à son arc : Guitariste, compositeur, arrangeur, mais également pédagogue, il est l’auteur de plusieurs méthodes pédagogiques et collabore avec de grands mags de guitare.

S’il fait un master class près de chez vous, courrez y !!!

Site officiel de Christophe Rime : http://crimeprod.free.fr/

My Space Christophe Rime : http://www.myspace.com/christopherime

Le guitariste américain de jazz et blues Mickey Baker ( connu aussi sous le nom de McHouston Baker. ) est décédé  mardi 27 novembre à l’âge de 87 ans à son domicile, près de Toulouse. 

//www.youtube.com/watch?v=4LDpI063qBA

Né en 1925 à Louisville, dans le Kentucky, Mickey Baker  a beaucoup travaillé dans les studios comme musicien d’accompagnement, dès la fin des années quarante, notamment avec Ray Charles.

Le tube Love is strange qu’il à interprété en 1956  en duo avec Sylvia Venderpool – a été repris dans de nombreux films dont le film Dirty dancing  .

Il a également accompagné plusieurs chanteurs français, comme Billy Bridge, Ronnie Bird, Françoise Hardy, Sylvie Vartan, Colette Magny etChantal Goya. Il s’était installé en France dans les années 1960.

UNE EXPOSITION A LA CITE DE LA MUSIQUE 

Une exposition « Django Reinhardt, Swing de Paris »  va permettre de découvrir du 05 Octobre  au 23 janvier 2013   l’univers de l’une des plus grandes figures du jazz en France et du père du jazz manouche.

Après le succès de l’exposition « We Want Miles » (octobre 2009/janvier 2010) qui nécessita sa prolongation et qui fut ensuite présentée à Montréal, Sao Paulo et Rio de Janeiro, le Musée de la Cité de la musique récidive avec une exposition consacrée cette fois au « divin Manouche » et imaginée par le même commissaire, le journaliste Vincent Bessières. L’exposition a pour ambition de dévoiler tout un ensemble d’œuvres qui reflètent le brassage culturel qu’incarne la musique de Django. « Elle n’aurait pas été possible sans le soutien enthousiaste de la famille Reinhardt et de David en particulier, ce petit-fils qui aujourd’hui, sur des voies nouvelles, reprend le flambeau musical de son aïeul », tient à préciser Laurent Bayle, directeur de la Cité de la musique.

Confiée à Patrick Bouchain, qui s’est fait une spécialité des structures itinérantes, la scénographie de l’exposition est délibérément libre de tout mur. Les documents, précise Vincent Bessières, sont « présentés dans de grande tables creuses qui, tels les étals des puces ou les malles de voyage, débordent de trésors insoupçonnés. Mobile et conviviale, invitant à se retrouver atour de la guitare de Django, elle a été élaborée en hommage au guitariste qui resta toute sa vie attaché au mode de vie des siens. »

Tout au long du parcours de l’exposition, des points sonores jalonnent le cheminement du visiteur : écoutes au casque près des tables de documents, « bancs sonores » permettant une écoute prolongée dans un cadre intimiste, projections de films sonorisés dans une salle dédiée.

Publié par les Éditions Textuel, supervisé par Vincent Bessières et très richement illustré de documents et photos souvent inédits, le catalogue de l’exposition (224 pages) comprend un texte inédit de Michael Dregni, spécialiste américain de Django Reinhardt. Signalons également que L’Express, avec Classica, publie en octobre un hors-série consacré à Django sous la direction éditoriale de Vincent Bessières.

Il faut enfin savoir que l’exposition sera par la suite proposée dans une version itinérante légère aux médiathèques et lieux culturels en région ainsi qu’aux centres culturels français à l’étranger.

//www.youtube.com/watch?v=3WHQ0twHQgo

UN CONCERT EN HOMMAGE :  « Swinging with Django »

Le samedi 6 octobre 2012 aura lieu à la Cité de la musique un concert ou trois groupes vont  se réapproprier le répertoire du très regretté Django Reinhardt, dont on a célébré il y a quelques mois le centenaire de la naissance, via l’inauguration d’une place à Paris.

Au programme de ce concert qui va swingger  :  Rocky Gresset & Adrien Moignard.

En seconde partie, c’est le Angelo Debarre Gypsy Unity  avec des improvisations sur les thèmes manouches de Django.

Enfin, en fin de soirée « Swinging with Django », ce sera au tour du très médiatique Thomas Dutronc  de venir sur scène pour jouer à la guitare  les titres virevoltant de l’immense Django Reinhardt, étendard du jazz manouche.

Source : http://www.citedelamusique.fr/ ; http://www.irma.asso.fr/

Pour la première fois depuis la sortie en 1980 de « 80/81″, le guitariste Pat Metheny a enregistré avec un groupe qui comprend un saxophoniste.

Cette fois il s’agit de Chris Potter. Ben Williams à la basse et Antonio Sanchez à la batterie complètent le quartet.

Pat Metheny dit à propos de l’absence de saxophoniste dans ses projets depuis trois décennies : « Mes groupes ont été envisagés à bien des égards comme une alternative au genre plus conventionnel que j’avais été amené à jouer. Il m’a fallu trente ans pour me décomplexer… Nous avions tous pensé revisiter le groupe de 1980 à un moment donné, mais avec la mort de Dewey Redman et celle de Michael Brecker, ça ne pouvait plus se produire. Et puis Chris Potter est arrivé. En tant que fan, je l’ai observé devenir un des plus grands musiciens de notre époque. Lorsque nous avons été tous deux invités à participer au premier album d’Antonio Sanchez, j’ai tout de suite vu que avions une façon naturelle de jouer ensemble qui suggérait quelque chose de plus. C’est là que j’ai commencé à penser à un projet autour de nous. »

Pour la partie rythmique, Metheny explique : « Antonio était un choix évident, cela fait dix ans que l’on joue ensemble et il a également souvent joué avec Chris. Pour ce qui est du choix du bassiste, il y a quelques années Christian McBride m’avait invité à un concert avec ses élèves à la Juilliard, j’y avais découvert Ben Williams dont le jeu m’avait immédiatement parlé. Depuis, Ben a remplacé Christian de temps à autre dans mon trio et j’ai trouvé que c’est un super partenaire. En plus il s’entend à merveille avec Antonio. »

« C’est drôle, conclue-t-il,j’ai entendu tant d’albums guitare-sax ténor qui avaient été influencés par le son de « 80/81″, que j’ai vraiment voulu amener celui-ci ailleurs. J’ai la chance d’avoir trois musiciens qui peuvent absolument tout jouer… »

Pat Metheny Unity Band en tournée

- le 1er juillet au Casino d’Enghien-les-Bains dans le cadre du Enghien Jazz Festival
– le 2 au Montreux Jazz Festival
– le 4 au festival de Jazz de Vienne
– le 18 au Palais Longchamp à Marseille dans le cadre du Festival Jazz Cinq Continents

Via : http://sites.radiofrance.fr